Je m’appelle Prinon Khandaker et je suis un entrepreneur basé à Montréal. Mais dans cette ville cosmopolite, on peut avoir l’impression que la balance penche en notre défaveur et que le système ne veut pas que nous prospérions.
Diversifier ou mourir
Je suis un grand fan de la diversification dans plusieurs entreprises, car rien n’est éternel et rien n’est sûr à 100 %.
Il est très difficile de démarrer une entreprise à Montréal, qu’il s’agisse d’obtenir les permis appropriés, de trouver les bonnes personnes ou de se conformer à toutes les règles provinciales et municipales. C’est aussi le moment où il faut trouver l’idée d’un million de dollars.
Paperasserie et pratiques déloyales
En effet, les banques ne devraient pas être en mesure d’amener quelqu’un qui paie ses factures à temps et qui a une croissance positive et de lui imposer des formalités administratives pour stopper sa croissance en raison d’éventuels facteurs de risque et d’une exposition au risque de crédit de leur part.
Un moyen de construire et de renforcer la communauté
Je pense qu’il est important de se diversifier dans plusieurs activités car rien n’est éternel et rien n’est sûr à 100 %. C’est pourquoi j’envisage de diversifier mon portefeuille dans de petits restaurants franchisés pour compléter mes portefeuilles immobiliers. J’ai toujours admiré la façon dont les entreprises peuvent rapprocher les gens, et j’aime la façon dont la nourriture rapproche les gens encore plus que la plupart des autres choses. Et puisque la nourriture est si importante dans nos vies, il est logique que les restaurants soient un excellent moyen de construire une communauté tout en fournissant quelque chose dont les gens ont besoin tous les jours.
La banque et la finance peuvent parfois être très délicates, car elles détiennent la clé de votre succès - ce qui est extrêmement injuste, car les banques ne devraient pas pouvoir retenir quelqu’un simplement parce qu’il paie ses factures à temps et qu’il a un taux de croissance positif.
Vous savez, cela fait un moment que j’y pense.
Un cauchemar
À mon avis, démarrer une entreprise à Montréal est un cauchemar.
Il faut obtenir tous les permis nécessaires et s’assurer de respecter toutes les règles provinciales et municipales. Il faut trouver l’idée d’un million de dollars. Ensuite, vous devez trouver les personnes qui vous aideront à la concrétiser.
Un environnement de prêt injuste
J’envisage de diversifier mon portefeuille dans de petits restaurants franchisés pour compléter mes portefeuilles immobiliers. La banque et la finance peuvent parfois être délicates, car elles détiennent la clé de votre réussite - et ce n’est pas juste ! Les banques ne devraient pas être en mesure d’amener quelqu’un qui paie ses factures à temps, qui a une croissance positive et qui veut développer son entreprise, et de l’accabler de paperasserie parce qu’elles veulent se protéger contre d’éventuels facteurs de risque. Les banques devraient être là pour leurs clients quand ils en ont le plus besoin !
Montréal manque de main-d’œuvre qualifiée
Mon expérience du monde des affaires à Montréal a été… moins que positive. Démarrer une entreprise à Montréal est un véritable défi, c’est le moins que l’on puisse dire, et ce n’est pas seulement parce qu’il n’y a pas assez de gens pour occuper les emplois.
C’est aussi à cause des restrictions sur ce que vous pouvez faire et où vous pouvez aller.
Les obstacles bureaucratiques
Les formalités administratives suffisent à elles seules à me donner envie de quitter la ville (si je le pouvais). J’ai envisagé de diversifier mon portefeuille en me lançant dans de petits restaurants franchisés, qui compléteraient parfaitement mon portefeuille immobilier. Mais maintenant que j’y pense, la banque et la finance me semblent être des domaines délicats, non pas parce qu’elles font mal leur travail, mais parce qu’elles détiennent la clé de votre succès, ce qui est injuste par rapport à la façon dont les banques traitent les personnes qui paient leurs factures à temps et développent leur entreprise.
J’ai toujours été partisan de la diversification de mon portefeuille. Rien n’est éternel et rien n’est sûr à 100 %. Je crois qu’il faut garder les options ouvertes et être prêt à faire face à tout ce qui peut se présenter.
Je me suis intéressé aux franchises pour compléter mon portefeuille immobilier. J’ai vu beaucoup d’histoires de réussite de personnes qui ont créé de petites entreprises, et je pense qu’il est important de rendre service à la communauté et de partager mes connaissances avec d’autres.
J’envisage actuellement de me lancer dans la restauration. Le secteur de la restauration est actuellement en plein essor et il offre de nombreuses possibilités de croissance.
Le plus grand défi auquel j’ai été confrontée à Montréal jusqu’à présent a été d’obtenir tous les permis nécessaires pour démarrer quoi que ce soit de nouveau - cela peut être très difficile ! Il faut aussi trouver les bonnes personnes pour vous aider à démarrer avec le bon équipement, s’assurer que vous vous conformez à toutes les règles provinciales et municipales, et trouver l’idée d’un million de dollars !